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Communion avec le végétal

Même un enfant de 10 ans peut communiquer dans l’amour avec les plantes, d’abord !!!

Même un enfant de 10 ans peut communiquer dans l’amour avec les plantes, d’abord !!!C’est ce que j’ai pu vérifier au stage des 21/22 octobre dernier pour le stage d’initiation sur la communication avec le végétal.

J’ai accepté pour ces deux jours d’ouvrir l’apprentissage à un tout petit groupe, composé d’une mère et de son fils de 10 ans car je voulais voir comment un enfant de cet âge allait s’investir et adhérer à cette communication.

Pour commencer, vous devez savoir, cher lecteur, chère lectrice que cette communication demande une certaine ouverture puisqu’une journée dans ce stage est consacrée à s’entraîner à passer de ce que je nomme la sphère intellectuelle à la sphère du vivant corporel. La communication avec le végétal commence donc avec soi-même. Etre avec ce que le corps perçoit avant l’étiquetage de la verbalisation est primordial. Pourquoi primordial ? Parce que cette communication ou communion se passe au niveau des perceptions du corps avant qu’elles ne se codent en mots et du comment nous laissons à ces perceptions leur vie propre. La communication dans l’amour avec le végétal diffère des communications unilatérales où « l’humain » va utiliser pour son bénéfice des caractéristiques énergétiques du végétal du fait qu’il reste dans son savoir mental. Ma découverte qu’elle soit neuve ou pas, m’a amené au constat que la nature parlait à travers ce vivant corporel et que si nous nous mettions en empathie avec le partenaire vert et que nous acceptions de nous laisser traverser pas les perceptions activées dans la communion, un soin était prodigué au deux communicants. J’ai remarqué aussi que ces perceptions pouvaient appartenir à l’un comme à l’autre des partenaires : le végétal ou la personne humaine.

L’enfant stagiaire n’a pas eu plus de difficulté pour rencontrer ce vivant qu’un adulte. Même après la respiration consciente qui peut soulever un courant émotionnel pas toujours agréable, notre petit ami, malgré qu’une tristesse soit remontée, n’a pas eu de mal à laisser passer cette émotion. Ce qui peut être différent avec d’autres enfants de cet âge.

Au stage 1, nous abordons trois niveaux du vivant corporel que nous retrouvons chez la plante : la vibration, le mouvement énergétique et les sensations. Sa mère était assez étonnée de voir que son fils y arrivait mieux qu’elle, vu qu’en plus ce n’était pas son premier essai.

Ce qui a été plus difficile mais normal pour un enfant de 10 ans, fut de rester concentré. En effet, demeurer en connexion avec la plante tout en passant d’un niveau à un autre n’a pas été facile pour lui.

Cette difficulté ne l’a pas empêché de participer activement à l’exercice de fin de stage. Cet exercice consiste à placer la plante de chaque participant devant le groupe à trois mètres environ en étant dans la communication avec les plantes que nous positionnons dans cet espace. L’écoute consiste à percevoir comment elles se perçoivent ensemble. Pour ce stage nous n’avons utilisé que trois plantes mais le nombre est plus important d’habitude.

Cette action mène souvent à une forme de méditation entre les participants et les plantes et c’est assez magique d’expérimenter cette présence simple et unifiante.

Les deux journées constituèrent un beau partage pour notre petite famille. Le garçon en a d’ailleurs fait un résumé à son école pendant l’échange sur les activités du weekend qui à mon étonnement a intéressé l’ensemble de la classe. Que le vivant des tablettes s’aligne.

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