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L’enfermement, paradis de notre ego

Le paradis qui conjugue « l’enfer-me-ment »
avec « l’enfer-où-je-me-mens »

ou

Quand la dysharmonie nous pousse à chercher l’harmonie

Les instruments de l’ego dans notre structure de survie

Pour reprendre des termes de l’article sur la relation à soi, le judicieux serait d’accueillir la deuxième source (la source de l’inconscient) en utilisant à bon escient la première (la source de l’intellect) dans un alignement harmonieux afin de s’ouvrir à la troisième (la source du supraconscient ou quantique).

Si certaines ou certains d’entre vous me disaient : « Oui ! Mais mon inconscient, je ne le connais pas ! », je leur donnerais deux réponses :

1/ Lui vous connait,

2/ Tous les instrumentistes d’un orchestre symphonique doivent avoir leur place et pour cela, ils doivent s’entendre entre eux et être entendus par le chef d’orchestre.

La symphonie de nos vies s’abreuve à trois sources.

Une partie de notre « vivant » inconscient peut utiliser des instruments bien sombres. Ils ont leur raison d’être, comme l’ego, ils ne sont donc pas à rejeter puisqu’ils jouent un rôle dans nos vies. Il me paraît important de développer notre état d’esprit à les maîtriser. Rappelez-vous, le marin doit connaître les vents s’il veut les maîtriser. S’il les nie : « Patatras ! C’est l’embardée ! » comme on dit en Belgique.

Je vous ai déjà partagé l’un des instruments sombres de notre inconscient dans l’article « Vous avez perçu que les racines de la personnalité sont illusions », en vous parlant des mécanismes inconscients que notre identification à l’ego crée par des chaînes associatives de perceptions retenues et évitées.

Dans celui-ci, je vous expose une dynamique de survie que nous pouvons retrouver chez chacun et qui est harmonieuse pour cette survie mais pas forcément pour la vie.

Avant ça, voyons certains points de cette structure de survie.

L’ego et la structure de survie

Brièvement, la structure de survie se construit sur les idées et les perceptions inconscientes de ce qui peut nous faire mourir physiquement, mentalement, émotionnellement et spirituellement. Ces perceptions sont refoulées dans l’inconscient et projetées sur le monde. Comme notre inconscient est alors habité« de ces sombres perceptions » et qu’en même temps le monde extérieur propose et des richesses et des dangers en partie identifiés par ces perceptions inconscientes, la dynamique de survie nous pousse à :

  • Éviter notre intériorité, c’est-à-dire nos perceptions,
  • Transposer les situations passées de ces perceptions dans des situations présentes pour contrôler le ressenti passé,
  • Nous identifier à l’ego qui a besoin de chaînes de perceptions pour leurs résister,
  • Nous protéger et nous défendre du monde extérieur en fonction de ce qui est évité en nous,
  • Chercher à l’extérieur la « richesse » qui va effacer nos pseudo-manques, ennuis, vides, imperfections que la structure de survie adore puisqu’elle fonctionne sur ce genre de croyances.

Et l’harmonie, dans tout cela, mon cher Yvon ! Non, je ne suis pas pessimiste, juste lucide, peut-être. Dis-moi : « l’harmonie serait-elle une recherche d’équilibre entre « la vie et la mort » due au déséquilibre que notre conscience-consciente trouve dans ce couple merveilleux ? ». Higelin chantait : « La mort est le berceau de la vie ». Je ne sais pas si c’est vrai ni ce qu’il voulait réellement dire. En tout cas, l’impact de la mort marque fortement notre survie. Et si cet impact nous poussait à avoir peur de vivre ?

Qu’est-ce qui est le plus important : « vivre » ou « survivre » ?

Que veulent dire exactement ces deux termes ?

Deux dynamiques importantes pour la structure de survie et son ego

Premiers éléments à considérer dans pratiquement toute action et relation : l’intention de l’inconscient et l’intention du conscient

Je crois qu’il vous paraîtra clair que la raison qui pousse à faire une action quelconque est judicieuse à connaître ou reconnaître. Je veux parler ici, du « pourquoi je fais cela », qu’est-ce que j’en attends ou qu’est-ce que je veux obtenir.

Ce qui peut-être sera moins clair pour plusieurs, c’est l’importance de reconnaître l’intention première. Le verbe « reconnaître » est bien adapté ici, puisqu’il y a obligatoirement des raisons intérieures « de départ » qui vont pousser le démarrage pour arriver quelque part. Ces raisons intérieures sont la plupart du temps inconscientes, masquées par les raisons et croyances conscientes, et de plus, imbriquées dans l’histoire personnelle.

Pour faire un parallèle, j’ai toujours été amusé par le fait qu’un GPS, pour nous amener à un endroit, doit mesurer la position de départ alors qu’un bon nombre de personnes désirent tout feu tout flamme arriver « à » sans s’occuper « d’où ». Aubert chantait « On aime comme on a été aimé ».

Le couac dans la loi d’attraction – le boomerang de l’inconscient

Si vous pratiquez cette loi, vous aurez sûrement remarqué que parfois elle fonctionne et parfois, c’est comme si vous aviez appelé son contraire.

« Ah, mince ! Que se passe-t-il ? », dit-on alors.

Ce résultat témoigne d’un souhait intérieur, aimant inconscient plus fort que l’aimant conscient. Il montre aussi l’importance de l’intention inconsciente qui tire sa force du refoulement.

Dans cet aimant, il y a la dynamique du faux-noyau/faux-soi

C’est un concept exposé par Stephen Wolinsky dans sa psychologie quantique. Selon lui, ce faux-noyau est un moteur qui est compensé par un faux-soi.

Quand les croyances liées aux faux noyaux se manifestent par des :

  1. « Je n’existe pas, je ne suis rien, je n’ai rien »
  2. « Je suis sans amour. Il n’y a pas d’amour »
  3. « Je ne peux pas faire, décider, agir »
  4. « Je suis impuissant(e) »
  5. « Je suis seul(e) »
  6. « Je suis sans valeur, je ne vaux rien »
  7. « Je suis imparfait(e). Il doit y avoir quelque chose qui cloche avec/chez moi »,

elles sont compensées par les faux-soi en rapport à des croyances comme 

  1. « Je dois prouver que j’existe, que je suis quelque chose, que j’ai quelque chose »
  2. « Je dois prouver que je ne suis pas sans amour. Je dois être aimable et aimer »
  3. « Je dois prouver que je peux faire, décider, agir en devenant un(e) super-gagnant(e), un(e) super-actif(ve) »
  4. « Je dois prouver que je ne suis pas impuissant(e) en faisant comme si j’étais puissant(e) »
  5. « Je dois être comme tout le monde » – « je dois me relier »
  6. « Je dois prouver que je ne suis pas sans valeur et que je vaux quelque chose »
  7. « Je dois prouver que je ne suis pas imparfait(e), et que rien ne cloche avec/chez moi. Je dois être parfait(e) ».

Le maître de l’illusion : l’inconscient

Dans mon expérience personnelle et professionnelle, j’ai pu vérifier le bien-fondé de cette dynamique.

Le faux-soi compensateur devient l’identité à épouser, le lieu à atteindre, la raison d’être et ce qu’il faut garder en « kérosène ». Le faux-noyau moteur refoulé, quant à lui, utilise l’essence du premier pour avancer sans y penser. Il vaut mieux se concentrer sur comment arriver plutôt que de ressentir la douleur passée qu’il ne faut pas retrouver.

Ainsi le GPS sait où aller, mais feint d’oublier d’où il part. En fait, c’est comme si l’inconscient restait au même endroit en immobilisant le voyage pour ne pas qu’il nous tue. La vie ne conduit-elle pas à la mort ?

Résultat : la loi d’attraction nous ramène au point de départ. Il faut alors justifier les échecs par d’autres croyances et raisons éloignées et garder l’espoir de l’impossible ou ne plus brûler par le désir d’atteindre l’inaccessible étoile, s’accrocher au rêve. « L’embêtant avec les rêvesdisait Coluche, « c’est qu’ils se passent quand on dort ».

En quoi les faux-noyaux/faux-sois interfèrent dans nos relations

Pouvez-vous imaginer les rapports suivants entre :

Un(e) « je n’existe pas – Je dois prouver que j’existe, que je suis quelque chose, que j’ai quelque chose» avec un(e) « je suis indigne d’amour – Je dois prouver que je ne suis pas sans amour. Je dois être aimable et aimer»

Un(e) « Je suis sans valeur, je ne vaux rien – Je dois prouver que je ne suis pas sans valeur et que je vaux quelque chose » avec un(e) « Je n’existe pas, je ne suis rien, je n’ai rien – Je dois prouver que j’existe, que je suis quelque chose, que j’ai quelque chose »

Si vous voulez saisir la dynamique des faux-noyaux/faux-soir, prenez en compte que chacun/chacune voudra posséder le faux-noyau moteur sans le vivre en conscience, car si la croyance du faux-noyau y arrive : c’est la mort pour la réalité inconsciente.

L’intention en rapport à la dynamique des faux-noyaux/faux-soi

L’ego s’identifie au moteur du faux-noyau pour créer en réaction la dynamique du faux-soi, ce qui veut dire qu’il ne peut exister sans le moteur. Cette identification ne s’efface pas par une action personnelle ou extérieure ni par une contre-pensée, la demande illimitée d’amour est comme un trou dans le sable que la mer ne peut remplir. Le faux-noyau devient « l’intention » inconsciente refoulée que le faux-soi cherche à ne plus revivre. Le monde devient alors son théâtre. Autant que j’ai pu m’en rendre compte, seule la prise de conscience sur l’illusion de ces fausses vérités par l’expérience de la troisième source change la biochimie conditionnée et enfermée dans ce principe. Ce qui provoquera cette prise de conscience est secondaire puisque dans cette expérience, s’expérimentent l’incomparable silence du mental et la paix de l’affect. Ensuite la source de la vie et la mort se voit de la vie alors que dans l’impact de la structure de survie, l’inconscient voit la vie de la mort.

D’où les faux-noyaux/faux-soi puisent leur force dans notre inconscient 

Mon voyage d’incarnation m’a aidé à réaliser que les croyances des faux-noyaux se cristallisaient par l’explication qu’elles prenaient pour résister à des vécus invivables. Ainsi, par la réaction du moins et du plus, se développe la dynamique de survie. Cette « explication-identification » est complètement inconsciente. (Se souvenir que l’inconscient implique une résistance aux prises de conscience impliquée par la survie elle-même). Autant que j’ai pu le constater pour moi et pour d’autres, l’action de se laisser traverser par les perceptions prises comme mortelles, désamorce la fausse vérité qui s’y attache.

Quand l’ego se nourrit des perceptions vécues, la structure de survie organise ses conclusions en regroupant les situations dans l’inconscient

Vous trouverez ci-après un exemple concret de situations réelles avec en parallèle, une partie des ressentis avec leurs conclusions inconscientes

Situations 1 :
  • Mon père a une double vie et vient de temps en temps.
  • Il aime venir à mes heures de repas pour me donner à manger, je suis fou de joie quand il arrive.
  • Il meurt assassiné, j’ai deux ans et demi.
Quelques perceptions en rapport :
  • Où est mon père ?
  • Que fait-il ?
  • Tensions et résistances,
  • Sensations insaisissables et incompréhensibles,
  • Sensations d’absence et de poids,
  • Remue-ménage,
  • La place est dangereuse,
  • La tristesse et la peur sont là.
Situations 2 :
  • Ma mère, à trois mois de grossesse, fait une hémorragie interne au Maroc, le médecin lui ordonne l’avortement car je risque de naître anormal.
  • Mon père refuse et la rapatrie en France.
  • Mon père a cinquante-cinq ans, ma mère trente-cinq.
  • Un jumeau est emporté par l’hémorragie.
  • Ma mère, à l’idée de l’avortement, reconnecte inconsciemment avec un avortement qu’elle a vécu pendant la guerre de quarante, provoqué par le médecin, père de cet enfant.
Quelques perceptions en rapport :
  • Sensations insaisissables et incompréhensibles,
  • La tristesse et la peur sont là,
  • La biologie perçoit quelque chose qui l’emporte et quelque chose qui la maintient,
  • Tensions et résistances,
  • Remue-ménage,
  • Sensations d’absence et de poids,
  • La place que j’occupe est dangereuse,
  • La peur est là.
Situations 3 :
  • Je dors dans la chambre de ma mère.
  • J’ai un an et demi, je suis dans la chambre avec mes parents la nuit. Je me réveille et les regarde faire l’amour.
  • Ils poussent des cris.
  • Quelques jours après, je suis au milieu des deux et je bats mon père qui me le rend.
Quelques perceptions en rapport :
  • Sensations incompréhensibles,
  • Que fait ma mère à mon père,
  • Que fait mon père à ma mère,
  • Peur que ma mère disparaisse,
  • Peur que mon père disparaisse,
  • Petit remue-ménage qui réveille les gros remue-ménages,
  • La tristesse et la peur sont là,
  • Tensions et résistances.
Situations 4 :
  • Après la mort de mon père, ma mère est sous le choc.
  • Elle tombe en dépression.
  • Elle pleure souvent.
  • Je reste avec elle, dors avec elle, la soutiens et lui dis que je vois mon père là-haut.
  • Il me parle.
Quelques perceptions en rapport :
  • Sensations incompréhensibles et insaisissables,
  • Peur que ma mère disparaisse,
  • Sensations d’absence et de poids,
  • Remue-ménage,
  • La tristesse et la peur sont là,
  • Tensions et résistances.
Les conclusions inconscientes en rapport aux quatre groupes de situations qui se bousculent dans l’inconscient
  • Je suis impuissant – je dois devenir puissant, je dois savoir faire.
  • Il y a quelque chose qui cloche en moi, je dois être parfait.
  • Ma mère a tué mon père en l’avalant.
  • Mon père va tuer ma mère en la poignardant de son sexe.
  • J’ai tué mon père.
  • J’ai tué mon jumeau.
  • Je dois tuer le monde pour qu’il n’agresse plus ma famille.
  • La vie est une bataille.
  • Le monde est en guerre.
  • L’amour est interdit.
Vous remarquerez peut-être :

1. Que les faux-noyaux/faux-soi peuvent se mélanger. Quand il est question de survie, la biologie est très créative et elle a la matrice, les générations, l’inconscient collectif, les parents, son histoire, pour se servir de perceptions et références.

2. Qu’il n’y a aucune vérité dans ces conclusions qui malgré tout ont été présentes et vécues dans l’inconscient comme réelles.

Alors, pourquoi la structure de survie va formater la vie sur ces conclusions ?

La même structure de survie pour tous – un ego pour chacun : l’œuvre de l’inconscient

Je vous entends déjà dire que tout le monde ne vit pas ce genre de situations : vous avez tout à fait raison.

Pourtant, la structure de survie se construit de la même façon chez tout le monde : « elle se construitsur des perceptionsdes vécus, personnels, parentaux, générationnels et de l’inconscient collectif que la biologie du sujet va interpréter comme mortelles que ce soit sur les plans physique, mental, émotionnel ou spirituel, perceptions qui sont contrôlées par l’ego qui tire son existence en les empêchant d’arriver à notre conscience et en les projetant sur le monde afin qu’elles soient vécues à l’extérieur et non ressenties à l’intérieur».

La survie harmonise avec excellence les vérités desquelles notre inconscient se nourrit.

De plus

Nous sommes le vivant dont l’existence se passe dans un corps mortel.

Nous nous identifions à ce corps immanquablement puisque reconnaître la dimension du vide et de l’infini fait disparaître l’ego et sa dynamique de survie.

Cette loi est valable pour tous et toutes, ce n’est pas une croyance, mais un fait, fait rejeté par la survie de beaucoup.

Des faux-noyaux/faux-soi personnels aux faux-noyaux/faux-soi biologiques

La dynamique de ces faux-noyaux/faux-soi se base sur une pseudo séparation de l’origine (la troisième source). Elle résulte d’une combinaison propre à chaque individu, et donc à chaque ego. La compensation consiste à chercher un moi « non-séparé » à partir d’un moi « pseudo-séparé ».

Ces schémas individuels d’existence amènent à des schémas communs : les faux-noyaux/faux-soi biologiques. Ils sont généralisés et très ancrés dans la chimie cérébrale.

Nous en trouvons trois dans le fonctionnement de toute personne :
  1. Je n’ai pas de contrôle – je dois garder le contrôle.
  2. Je suis en insécurité – je dois me sécuriser.
  3. Mon intériorité, la vie et le monde sont fous – je dois me préserver de la folie.

En posant ces trois modèles de nos vies conscientes et inconscientes je vous propose comme réflexion méditative, les deux questions ci-après :

Si notre personnalité a oublié la troisième source et s’identifie aux besoins de survie ne serait-ce que dans la compensation (s’occuper, se faire plaisir, manger, se distraire, consommer…) quels éléments va-t-elle prendre dans la source de l’inconscient et dans la source intellectuelle pour vivre ?Quelle harmonie chacun va-t-il alors créer en lui-même à partir de cet oubli, dans sa vie extérieure et dans le monde ?

La grande attraction – l’ego attire ce que l’inconscient aime

Si notre esprit conscient oublie en grande partie les perceptions vécues pour se concentrer consciemment sur les actions présentes, l’inconscient lui, ne les oublie pas.

Pour assurer la survie, il les rassemble autour d’une logique biologique contrée par une logique de raison. Ainsi les deux s’opposent pour construire la dynamique du conflit biologique reconnu en psychobiologie. Elle complète la dynamique des faux-noyaux/faux-soi en instruisant nos actions biochimiques et la programmation cérébrale (le conditionnement).

Au fil de notre enfance, les masques et façons d’être de notre personnalité se bâtissent sur les perceptions des situations rencontréesfiltrées par les conclusions passées et ancrées ou désancrées par la compréhension consciente et inconsciente de chaque expérience, tenue par l’idée de soi dans un « je serai celui, qui évitera demain, ce qu’il a perçu hier ». Prendre en compte en plus que « le perçu d’hier » est inconnu par l’intellect puisque refoulé et connu par l’inconscient puisqu’utilisé. Le GPS a des raisons de se sentir désorienté.

Qu’est-ce que j’entends par « ancrage et désancrage » ?

Nous sommes devant la résultante du choix inconscient.

Si notre identification verse plus inconsciemment vers la survie et sa compensation, notre cerveau conditionné par la structure de survie, choisira de renforcer les conclusions référentielles avec toutes les chaînes d’associations qui préservent la réaction protectrice et défensive comme identitaire. Notre état d’esprit attirera des situations extérieures en adéquation et s’enfermera dans l’ancrage des conclusions et des croyances établies.

Telle est la loi d’attraction.

Si notre état d’esprit est plus pris par la troisième source dans la reconnaissance des deux autres, il attirera une synchronicité remarquable et s’ouvrira à un désancrage et à la multitude, puisque les étiquettes des visions de la structure de survie ne seront plus collées sur le monde et sur soi.

Telle est la loi d’attraction.

Et l’harmonie dans tout cela !

Comme écrit plus haut : « La survie harmonise avec excellence les vérités desquelles notre inconscient se nourrit ». La vie en fait de même, car la vie comme la survie sont orchestrées d’une main de maître : le vivant. Pour que l’existence s’harmonise dans la vie, la résistance inconsciente doit fondre car alors, elle se crée sur ce qui est et non sur ce qui n’est pas et imaginé.

Pour entrouvrir la porte de cette expérience, je vous propose la méditation « état sans état » tirée du travail de Stephen Wolinsky. C’est une méditation confrontante et non relaxante. Si vous la faites, soyez ouvert à « l’un-connu » et à une forme de « déstructuration ».

https://youtu.be/KjLjV9yBGTU

Toutes les photos sont de Gabray

www gabray31.eklablog com

Prenez soin de votre vivant

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