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Communion avec le végétal Thérapie de l'Instant

La communication avec le végétal – une communion dans l’unité

La communion avec le végétal

Par le voyage où j’ai appris petit à petit à :

  • ==> Laisser passer les perceptions/informations retenues dans mon inconscient
  • ==> Laisser mon ego à sa place, c’est-à-dire dans la survie
  • ==> Connecter ce que je nomme « le vivant » qui regroupe la deuxième et la troisième source que j’expose dans l’article : « Comment s’harmoniser avec la vie en soi »
  • ==> Laisser ma vie intérieure être guidée par la dernière
  • Aligner les trois sources

J’ai découvert qu’en connectant mon vivant au vivant d’un végétal, il se produisait une communion intense et subtile. J’ai eu la chance de partager cette découverte avec ma compagne, ce qui nous a permis de rapprocher et vérifier nos perceptions. 

Un deuxième cadeau est arrivé quand je me suis aperçu que les personnes qui savaient comment se connecter à leur vivant pouvaient aussi communier avec le végétal quand je leur en montrais le principe. 

Pourquoi communion au lieu de communication

La communication se déroule autour d’un échange de paroles ou d’attitudes physiques.

La communion est bien plus qu’un échange : c’est une forme de fusion dans la compassion et l’acceptation d’être touché par cette « comme-union », un « un plus un » qui égale un. 

La rencontre avec le végétal que je pratique et propose dans des formations appelées : « La pratique de l’instant avec le végétal » est une canalisation de l’information à travers les fibres de son corps par un « laissez-passer » et une connexion à son vivant et au vivant d’une plante, d’un arbre, de la terre, d’une fleur…

Canaliser l’information dans son corps et « sa chair »

Cette communion a deux caractéristiques prépondérantes : 

  • L’acceptation de laisser « sa chair » percevoir l’information
  • La connexion à son vivant
Pourquoi laisser vivre l’information dans « sa chair »

Je vais vous l’expliquer par un exemple parmi tant d’autres que j’ai eu avec les arbres et les plantes : 

Lors d’un week-end « Airbnb » en Belgique, je prenais le petit déjeuner chez mon hôte. C’était dans une immense pièce avec une grande baie vitrée, exposant une volière remplie d’oiseaux et des orchidées parsemées dans cette grande pièce. L’hôte, à qui j’avais expliqué cette communion, me montra un coin où quelques-unes de ces plantes délicates étaient entreposées. C’était le coin des malades. Je me connectai à l’une d’elles et mes boyaux se révulsèrent, une énergie me traversa l’œsophage et me fit ouvrir la bouche. Tout de go, je déclarai à la dame que sa plante avait des parasites sur ses racines. Elle me confirma ma sensation.

Vivre l’information dans sa chair, qu’elle soit agréable ou non, la rend beaucoup plus explicite, mais ce n’est pas le seul avantage que j’ai pu remarquer. Laisser traverser l’information dans ses muscles, ses organes et son esprit fait aussi du bien au végétal comme à soi.

Pourquoi connecter à son vivant

Dans mes découvertes, il est apparu clairement, aussi bien pour mon canal que pour celui des autres personnes que j’ai accompagnées ou formées, que l’information circulait lorsque nous étions connectés à ce vivant et non à notre intellect. Au contraire, quand nous étions associés au mental conscient, la circulation était stoppée. Par contre, l’intellect était utile pour émettre une idée ou une direction ce qui activait dans l’instant, le réveil de l’information intérieure. Voilà pourquoi nous avons appelé cette méthode : « la pratique de l’instant du vivant ».

La nature est reconnaissante

En traversant le parc Salvator à Mulhouse, j’ai rencontré le maître du parc, un arbre énorme qui a une partie de ses racines imbibées d’eau. Je me suis arrêté devant lui et me suis connecté à mon vivant et au sien. Pendant la communion j’ai ressenti du froid et une difficulté à faire circuler le flux énergétique, de la tristesse aussi. J’ai laisser-passer le mouvement jusqu’à ce qu’il retrouve une circulation acceptable et une émotion plus joyeuse. L’arbre m’a semblé alors plus grand, plus fort.

Quelque temps après, alors que je repassais et m’arrêtais devant lui pour lui dire bonjour, je sentis qu’il me priait de passer derrière lui. Je m’exécutai donc en pensant qu’il voulait que je me connecte à une partie que je verrais du côté demandé, mais lorsque je fus à cet endroit, j’entendis en moi « retourne-toi ». Ce que je fis. J’ai découvert alors un petit arbre tout en pluie de branches avec lequel une douce et tendre énergie m’habita, un présent du présent, en quelque sorte. 

Plus tard, lors d’un échange d’accompagnement avec une amie, celle-ci avait noté que je manquais de prise à la terre. Plusieurs jours après, l’histoire étant oubliée, je me retrouvai devant l’arbre du parc Salvator à le saluer. Je sentis alors mes pieds grandir ! Grandir ! Grandir ! En même temps, ils se posaient largement sur le sol.

Comment connaissait-il l’histoire ?

Qu’est-ce qu’il se passait entre son corps et mon corps ? Je n’en sais rien, mais il sut mieux m’ancrer au sol que mon amie thérapeute.

L’expérience m’amusa beaucoup.

La nature a besoin de notre conscience

Ma compagne et moi, ainsi que plusieurs personnes qui ont suivi mes stages, avons noté que cette communion profitait aussi au végétal. Mon rhododendron lors d’une communion avec lui qui avait laissé une énergie méditative qu’une patiente sentit le lendemain, me demanda de partager à mes frères humains, comme je l’entendis en moi, cette relation.

Il y a à peine quelques heures, pendant mon repas sur la terrasse, mes yeux arrivaient sur une plante que j’avais placée il y a deux jours à côté de géraniums. Je remarquai que celle-ci était en moins bonne forme qu’il y avait deux jours. En me connectant à elle, je perçus qu’elle était en baisse d’énergie, vraisemblablement à cause du géranium à côté et en me connectant sur celui-ci, je remarquai qu’il pompait de l’énergie à ladite plante. Je décidai donc de la déplacer. En voulant la mettre à plusieurs mètres, elle m’arrêta en chemin pour la placer sur le mur de la terrasse. Je l’ai alors posée, mais trop proche du vide. Ma compagne et moi remarquâmes alors sa peur, ma compagne l’a déplacée légèrement. La plante était contente. 

Nous avons constaté à maintes reprises la relation entre les arbres et les plantes. Voici quelques partages sur mon expérience avec les plantes.

Quand j’ai commencé à étudier cette communion, je me connectais à plusieurs plantes et arbres par jour. C’était assez chronophage. C’est alors que j’ai remarqué que lorsque je canalisais l’information d’un arbre ou d’une plante, cette communion profitait aux autres. Ils sont donc reliés. Nous devrions en prendre de la graine, n’est-ce pas !

La nature est intelligente

Une fois, ma compagne avait cuit des artichauts. Elle avait apporté sur la terrasse la casserole avec les légumes pour les servir dans les assiettes et en revenant vers la cuisine avec la casserole pleine de cette eau « artichautée », je vis ma belle s’arrêter sur le seuil de la terrasse. Je lui demandai alors : « Qu’est-ce qu’il se passe ? » 

Elle me répondit : « J’ai entendu, stop ! Et j’ai senti que des plantes me demandaient l’eau »

« Ah, bon ! Lesquelles ? » lui demandais-je. 

« Les aromatiques ».

Leurs besoins étaient donc aiguisés et l’eau devait donc avoir de bons nutriments. Depuis, le liquide de nos légumes va aux plantes qui le demandent et ce n’est pas toujours pour les mêmes, elles nous l’indiquent.

Nicolas utilise cette communion dans ces accompagnements

Je forme actuellement Nicolas à cette communion et aux techniques de la pratique de l’instant et de « Surfez votre vie ». Lors d’une séance, il a eu l’idée d’utiliser la plante d’une personne qui l’accompagnait. La communion avec cette plante a aidé celle-ci à se sentir plus paisible, plus tranquille. Elle a pu se laisser traverser par l’inconfort de perceptions qui s’activaient en elle dans l’instant et trouver un chemin.

La connaissance réside dans l’énergie de la nature

Nous avons vérifié des dizaines de fois la richesse de cette communion et ce qu’elle pouvait apporter aux humains comme aux végétaux. Dans l’article : « La communion du vivant, jusqu’aux racines de l’arbre », je partage le fait que j’ai perçu un équilibre biologique entre la conscience humaine et la conscience terrestre. 

Voici ce que plusieurs stagiaires partagent :
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